Anagramme ou Sudoku ?

Coucou les Loulou,

 Je vais s’en doute surprendre les lecteurs les moins attentifs en vous parlant d’une des petites passions que j’affectionne, je veux parler des jeux vidéo.

Je compte vous en parler de temps à autre si l’occasion si présente. N’allez pas me demander si je préfère Sonic ou Mario - déjà parce que la sempiternelle rivalité entre ces deux là n’a plus lieu d’être, d’autant qu’un titre réunissant ces deux mascottes est sortie sur Wii et DS mais aussi et surtout, du fait que je les aime tout autant.
 

 N’oublions pas pour autant où nous sommes alors rassurez-vous, je n’ai pas l’intention de transformer la nature mon blog pour le dédier aux jeux vidéo. Sur ce sujets, les blogs pullulent et inondes la toile et surtout même si l’idée me venait de le faire, n’importe lequel de ces blogs serait assurément plus complet et intéressant pour le lecteur visé.

Alors là, vous vous demandez où je veux en venir, et bien c’est simple. Les consoles d’aujourd’hui se séparent en deux grandes catégories elles-mêmes en deux parties. Il y a d’abord les consoles orientées « Gamer », pour joueur averti, et celles orientées « tout public ». Et c’est de celles-ci dont je veux vous parler. Il y a d’abord la console de salon, l’immanquable Wii et sa petite sœur, l’imbattable DS.
 

Ce qui est intéressant c’est que sur ces deux consoles créer par Nintendo, nous trouvons tout un tas de logiciels pour nous aider au quotidien, sous forme de coach virtuel pour nous permettre d’entretenir notre forme physique, nos capacités mémoriels, renforcer nos acquis en langue étrangère voir à apprendre la cuisine ou le jardinage. Et c’est donc sur ce type de jeu que je compte m’entretenir avec vous.
 

 Passé la quarantaine, beaucoup de personnes craignent de décliner sur le plan cérébral. D’où la tentation de s’essayer aux jeux qui proposent de « booster vos neurones », voire « de rajeunir votre cerveau ». Beaucoup de scientifique mettent en doute ces possibilités ventées, preuves à l’appui. La plupart de ces logiciels entraînent essentiellement notre mémoire à court terme mais pas celle à long terme, c'est-à-dire la base des connaissances multiples et variés, sur lequel notre cerveau s’appuie pour bien fonctionner.

En outre, notre mémoire est structurée en modules. Il ya la mémoire sensorielle, la mémoire des visages, de l’orientation spatiale, etc.
 

Ces jeux ne font que solliciter une infime partie de notre cerveau, en réalité, ils augmentent uniquement la plasticité cérébrale dans les zones qui supportent une compétence précise. Ce type de performance est difficilement transférable dans la vie. C’est n’est pas parce que les joueurs d’échecs développent leurs facultés de concentration qu’ils retrouveront plus facilement leurs lunettes. En réalité, le cerveau a besoin de se confronter à des problèmes sans cesse nouveaux pour fonctionner à plein régime. Pour être efficient, le cerveau doit surtout alterner différentes tâches en permanence.
 

 

Si vous voulez en savoir plus, je vous invite à découvrir « Stimuler ses neurones… Oui mais comment ? » d’Alain LIEURY.

Conclusion, variez les jeux et les difficultés puis passez à d’autres activités tout aussi stimulante comme lire ce blog ou discuter des derniers films projetés en salle ou de cuisine. A ce sujet, je prépare une nouvelle rubrique entièrement consacré à cette autre addiction.